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Centre intégré universitaire
de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l'Île-de-Montréal

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Rougeole - Port du masque de procédure obligatoire

Des cas de rougeole ont récemment été confirmés au Québec, dont plusieurs à Montréal. En raison de la circulation de ce virus très contagieux dans la métropole, le port du masque de procédure est maintenant obligatoire dans toutes nos installations où des soins de santé et services sociaux sont offerts à la population.

Pour en savoir plus

Actualités

Tout simplement merci à tous les criminologues travaillant au CCSMTL!

Logo de l'Ordre professionnel des criminologues du Québec

En cette semaine de prévention de la criminalité qui se tient du 4 au 10 novembre 2018, la Direction des services multidisciplinaires (DSM), en collaboration avec le Conseil multidisciplinaire, aimerait souligner l’apport de plus de 93 criminologues œuvrant dans notre établissement. Toutefois, la majorité de ces cliniciens occupent des postes d’agent en relations humaines (ARH) et de réviseur, alors que seulement 15 d’entre eux portent le titre d’emploi de criminologue. Ils exercent leurs fonctions principalement dans la Direction du programme jeunesse, la Direction de la protection de la jeunesse et la Direction des programmes en santé mentale et en dépendance.

Un certain nombre de criminologues occupent un poste de réviseur à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). Dans leur fonction, ils procèdent à la réévaluation de la situation de compromission des enfants pris en charge dans le cadre de la Loi sur la protection de la jeunesse (LPJ). En effet, ils doivent évaluer si les motifs de compromission initiaux se sont résorbés via les mesures mises en place dans le cadre d’un jugement de la Chambre de la jeunesse ou d’une entente sur mesures volontaires. Un autre groupe de criminologues travaillent comme ARH sous la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA). Ils s’attardent à l’évaluation des facteurs criminogènes, des comportements délictueux du jeune ainsi que les effets des actes criminels sur les victimes.

Finalement, un dernier groupe de criminologues, portant le titre de criminologues ou d’ARH, œuvrent aux programmes santé mentale et dépendance, au programme jeunesse ou à la DPJ. Ils travaillent auprès de clientèles provenant de tous milieux, et ce, tant au niveau de la prévention que de la réadaptation. Leurs connaissances en criminologie leur permettent d’apporter des nuances dans la compréhension de la situation des usagers et dans les interventions qu’ils proposent. Ils élaborent des plans d’intervention, en assurent la mise en œuvre et contribuent à rétablir les capacités sociales de l’adulte, de l’adolescent ou de l’enfant, dans le but de favoriser leur intégration dans la société.